Prendre 1 à 2 secondes pour se formuler à soi-même ce qui est en train de se passer
Cela paraît impossible ? Pourtant, sous stress, notre cerveau peut traiter avec une remarquable vélocité les informations utiles dès lors qu'il connaît la voie à suivre.
Ces secondes suffisent pour se demander à soi-même :
• Qu'est-il en train de se passer ?
• Qu'est-ce que j'accepte ? Qu'est-ce que je n'accepte pas ?
Souligner notre part de responsabilité
Impossible que tous les torts soient du même côté.
Pour réduire la tension, admettre (si possible avec sincérité !) que nous sommes «responsable» de quelque chose : "j'airais dû vous être plus précis dans...", "je m'aperçois que...".
Notre interlocuteur se sent alors entendu et devient plus ouvert pour dialoguer.
Refuser tranquillement les propos injurieux
Notre interlocuteur a le droit d'être mécontent, de l'exprimer
clairement. Mais on a le droit de faire entendre notre besoin de respect
pour bien fonctionner. Le dire et ce avec calme,
diplomatie est un réflexe utile à développer.